A la fin du siècle dernier, Émile Hirsch, maître verrier, l’abbé Albert Deleuze et quelques chrétiens du quartier des Batignolles prennent la décision de fonder un établissement religieux. Ils achetèrent l’hôtel de l’artificier Ruggieri, situé au 172 de la rue Championnet, et purent édifier l’église, c’est le début de la paroisse Sainte Geneviève des Grandes Carrières. C’est le 19 mai 1891 que fut inauguré l’ensemble. Le père Henri Garnier rejoint le père Deleuze, et d’autres bâtiments seront construits. Les activités pour les jeunes du quartier prirent naissances, Championnet venait d’être créer… nous connaissons la suite !

Nos prêtres à Sainte Geneviève des Grandes Carrières

 Les pères Albert Deleuze et Henri Garnier y figurent...

Et le père Julien Bernard (assis à droite) et le père Caillet, jeune prètre nouvellement ordonné, est le premier debout à gauche.

Dans les années 30, le deuxième assis à gauche est le père Julien Bernard, au bout à droite le père Caillet.

Debout, le deuxième en partent de la droite, le père Forgeot d'Arc.

Le deuxième en partant de la gauche, le père Raymond Borme, jeune prêtre.

Les autres?

En 12 Octobre 1944 obsèques du père Julien Bernard

Quelques années plus tard. Vers 1955, assis de gauche à droite:

Prêtre inconnu, puis les pères: Caillet, Borme, Mormiche, Forgeot, et Prêtre inconnu.

Debout de gauche à droite : Placiard, Aubin, Trubert.

1955, En bas assis, de gauche à droite : Les pères Caillet, Borme, Mormiche, Forgeot.

Debout : Placiard, Aubin et Valois.

Bernard Le Fouiller, en 1965, colon à la Clarté...

Et quelque années plus tard, prêtre à Ste Geneviève !

Bernard, aumônier militaire depuis 15 ans, va recevoir la décoration militaire de Chevalier dans l'Ordre National du Mérite, pour ses campagnes au Liban et en Bosnie, Yougoslavie, etc...